|
|||||
Quelques éléments de la biographie de l'artiste Née à Malines le 5 février 1958, Arlette Steenmans habite, jusqu'en 1982, la maison familiale du centre de Malines. Pendant que les écoles de la ville contribuent à sa formation et à son éducation, alors que s'affirme déjà une belle créativité artistique, elle se passionne pour l'observation des astres et s'intègre rapidement à un groupe de jeunes malinois férus, comme elle, d'astronomie. Après des humanités sans heurts, elle va étudier la peinture à la Karel de Grote Hogeschool voor Schone Kunsten d'Anvers, d'où elle sort diplômée en 1980. |
|||||
L'année même, elle expose pour la première fois à Malines. Mais elle rêve de grande aventure. En 1982, elle décide de partir pour Puimichel, dans le sud de la France, où elle souhaite installer un observatoire de vacances. Sur place, elle acquiert une vieille bergerie en ruine, connue dans la région sous le nom de La Remise, qu'elle restaure pierre par pierre. La mise en uvre de ce projet ne va pas de soi ; et les conditions de vie, assez précaires, ne lui permettent guère de s'adonner au bonheur de manier le crayon ou le pinceau. Grâce à son sens développé des relations humaines et à sa connaissance approfondie des langues (néerlandais, français, anglais et allemand), elle fait de La Remise un lieu de rencontre privilégié pour un public très international. Jusque là : une vie tellement hors du commun qu'elle pourrait en soi donner lieu à la rédaction d'un ouvrage captivant.
Durant les années où elle s'occupe de l'observatoire, Arlette Steenmans ne peut consacrer à son art que de trop rares moments. Mais à partir de 1999, elle peut enfin s'y livrer intégralement. La Remise devient un centre d'art. L' a.s.b.l. Artventure, qui gère ce centre, y organise des expositions et des cours de peinture. Arlette Steenmans choisit, quant à elle, d'y pratiquer la représentation picturale de la nature, et une de ses ambitions est la réalisation sur commande d'illustrations d'ouvrages traitant de la faune et de la flore. L'exposition qui lui est consacrée à Ostende à l'été 99 rencontre un très beau succès d'estime: un grand nombre d'acquéreurs y apprécie l'artiste à sa juste valeur. Cette manifestation marque le véritable point de départ de sa carrière. L'auteur du website sur le bateau de la culture Imke C, Ostende, août 1999. (Photo Gisela De Smedt) |
|||||
Distinctions artistiques :
Expositions collectives ou individuelles :
<-- L'exposition sur le bateau de la culture Imke C, Ostende, août 1999. (Photo Gisela De Smedt) |
|||||
L'uvre d' Arlette Steenmans Son travail couvre la période qui va de 1978 à ce jour. Les uvres exposées ont, pour la plupart, été réalisées dans les années 90. A cette époque, les réalisations d'Arlette Steenmans, hors quelques rares commandes, n'étaient pas destinées à la vente. C'est ainsi que la quasi totalité des travaux qu'elle expose doivent être perçus comme les fruits d'une inspiration spontanée, encore induits par des événements fortuits ou de pures émotions. Malgré le fait qu'elle n'ait jamais franchi le pas qui l'aurait conduite vers une pratique picturale aux fins d'une commercialisation systématique, nombre de ses uvres se trouvent d'ores et déjà dispersées dans toute l'Europe.
Dans la composition d'autres tableaux, le décor est relié à des objets réels extérieurs à l'uvre : par exemple la chemise (peinte) suspendue à un cintre. La richesse des détails et la grande précision mise en uvre dans leur représentation, l'inventivité de l'artiste et son sens original de la fantaisie, font que ses uvres sont bien davantage que purement décoratives : elles sont un voyage à la frontière qui sépare le réel de l'imaginaire. |
|||||
Arlette Steenmans été 1999 |
Pour acquérir une uvre d'Arlette Steenmans Les uvres exposées n'ont pas été réalisées dans l'intention d'être vendues. C'est pourquoi aucun prix n'est mentionné. Cependant, des visiteurs se montrent régulièrement intéressés à l'acquisition d'une uvre exposée. Dans ce cas, et si l'artiste accepte de s'en défaire, l'uvre aura forcément un prix, qui comprendra, non seulement le temps consacré à sa réalisation et le coût du matériel, mais également la valeur artistique de l'uvre. Une petite aquarelle peut être cédée à partir de 60 Euro, alors que, pour des uvres plus importantes, il est arrivé à l'artiste de rejeter des offres dépassant les 8.000 Euro. Si vous souhaitez interroger le peintre sur son travail en général, ou sur une de ses uvres, n'hésitez pas! Elle se fera un plaisir de vous répondre. |
||||
|